Gravités de la Solitude
Je vis dans le farouche exil
De la volupté qui s’isole,
Et le rythme de ta parole
Fait rire en moi les chants d’avril.
J’aspire les fraîcheurs nocturnes
Et la langueur de ton repos,
Dans l’ombre de tes yeux mi-clos
Et sur tes lèvres taciturnes.