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(Fini l’chiqué des vieux gratins,
Des pauv’s vieux cochons baladeurs !
Fini, Mam’Poignet et ses leurres
Solitaires et clandestins !)


Ah ! nom de d’là ! ce que j’l’am’rai
(Gn’aura qu’Ell’qui s’ra ma Patrie)
Elle et pis sa jeuness’fleurie
Comm’le Luxembourg au mois d’Mai !


Ah ! quand c’est que j’y parviendrai
À la Mason de Son Sourire,
Quand c’est donc que je pourrai m’dire :
— Ma vieill’, ça y est, tu vas t’plumer !


Si c’est l’Hiver… p’têt’qu’y f’ra chaud,
Si c’est l’Printemps p’têt’qu’y f’ra tendre,
Mais qu’y lansquine ou qu’y fass’beau,
Mon guieu… comme y f’ra bon d’s’étendre !