Page:Rictus - Les Soliloques du Pauvre, 1903, 5e éd.djvu/258

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Et pour jamais et pour jamais
(Le museau un peu pus content)
J’les vois un à un s’endormir


Le bout d’un téton dans les dents…


La maison des pauvres