Page:Rictus - Les Soliloques du Pauvre, 1903, 5e éd.djvu/210

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Oh ! mon Guieu, si vous existez,
Donnez-nous la forc’d’être libres
Et que mes souhaits s’accomplissent,


Car au Printemps, saison qu’vous faites
Alorss que la Vie est en fête,
Y s’rait p’-têt ben bon d’être eun’bête
Ou riche et surtout bien aimé.


(Ça s’rait ben bon, si c’n’est justice !)