Page:Rictus - Les Soliloques du Pauvre, 1903, 5e éd.djvu/166

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Voui, l’v’là l’Printemps, l’marchand d’rameaux ;
Y vient, y trott’, quoiqu’rien n’le presse,
« Par les sentiers remplis d’ivresse »,
Le v’là qui radin’, le chameau !


Steinlein - Jehan Rictus Le printemps



IV



Ah ! nom de Dieu, v’là qu’tout r’commence.
L’Amour, y « gonfle tous les cœurs »,
D’après l’chi-chi des chroniqueurs,
Quand c’est qu’y m’gonflera… la panse ?