Page:Revue de métaphysique et de morale, 1897.djvu/23

Cette page n’a pas encore été corrigée
.•̃ r J-Jv g-oxjrd. -4 xes trois .dialectiques. ̃ ig-.

même de la -réalité bolleetive n’est,elle ; pas purement ; gratuite- et contradictoire ? Ces questions deviennent 4 ?aitàntplus^ embarras- I~ santés que, en dépit des éléments importants ^e ; ratioiialisme^ut ont fait leur apparition dans le panthéisme élémentaire, nous n’ayons > l>as :encore dépassé, :sur la. plupart des’ points ; là ; coordination : ënipi^ riste ; et que les diverses existences,^ concilier ou entendre sepa^ cément ’(ïeyraiént ; rester fcancHëment concrètes. r- -S ( ̃̃’ ̃ -.Non, nekoulevons pas ici lé-problème^ dé rëtisemTjfe, sous laforme, panthéislë, : ni : sous la forme théiste. Le réalisme quMè dicte neprofite à rien ’etne répond à rien. Disons quea’Bnsemble.n’BxiBte" /que par : ses, termes, et qu’il est suffisamment expliqué lorsque se& ̃termes lesonti Mais.ses termes ne sont : pas’ suffisamment expli- .qués ; IL est vrai. Toutefois, ce n’est pas^ une raison d’introduire. gratuitement des complications et des difficultés/ Et peut-être, k un’ autre degré de la dialectique^ obtiendrons-nous ce qui nous échappe’ V maintenant. Uempirisme adomié cè’doniil est Capahlè à : d’autres ̃ ; dôctriïies de faire le reste.- ̃̃• ̃ ̃• ̃ ̃̃̃ >-• < .~II : Lé ~Rationr~lisnie. `Après lë’-concrét ; l’abstrait. Noüs ~-noüs ̃llKLe Nationalisme, : -Après le concret ; l’abstrait ; Nous -nous À ,«l(Dignons- par conséquent du monde commun à la science et à l’esthétiquev Noué entrons1 dans le. domaine dé la science proprement

  • te. C’est levmôment du rationalisme.. Autant, ïn effets l’empirisme

craint de ;s ;éloigner : dea’expérieiice et de ïes objets individuels/ autant le, rationalisme É’en, glorifie. Et certes, ; si cette/attitude ne raccompagnait pas de tendances .réalistes ïiêta- plus choquantes ici qu^au début delà ^dialectiquèy -si, d’autre’, part, >eïte ne coïncidait : pas avec uh.oubli trop fréquent des services ; rendus par : ^empirisme

et de son,, rôle nécessaire,’ elle»^rait^tOut ;à
l’hoflneurvdu rationafeme.

Ilfaùt ;bien :maintenaht se décider à porter {atteii{tevà ;i’mté- •grité des termes çoorddhnésl il faut Meij quë, :àu lieu^ de prendre les choses ; telles-- qu’elles- se présenteht^la dialectique f distingue des éléments rebelle :s études : éléments favorables^ la ̃coordination qu’elle élimine les uns et^conserve, lés autres. Or ceci- n’est autre chosèque rabstraction. ;Seulementvsi :Fon ^restait ;làV le^procedé serait paA trop expéditif. Une nouvelle dpéfationdevïenV.necessaire’ Elle consistera. reprendre les éléments rébellesTmais en les convèrtissant approximativèment :ext éléments favorables/ De- la : sorte la dialectique nênégiige rien, du moins Jrien de ce^ qui istdans ses prises, »t en même^temps elle évite ^obstacles qui rOnt-précédém-