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avait trouvées et obtenir la couronne ; puis il avait recouvert le corps de branches et de feuilles mortes.

Peu après le fils aîné du roi subit le châtiment dû à son forfait, et quand les temps furent accomplis, ce fut le plus jeune des trois enfants qui monta sur le trône de son père…… lui qui ne s’était point attardé à chercher dans la forêt les trois brins de Pimpenois[1].

(À suivre.)

A.-D. Roazoun.
  1. Julienne Leneveu de Rohan racontait, vers 1860, une histoire de ce genre. Les fleurs de Pimpenois n’y étaient pas mentionnées, mais on y retrouvait l’épisode du sifflet (parlant et non chantant) qui disait :

        — « Sifflez, sifflez, mon père,
        Mon frère m’a tuée… etc.