mier de la paix de France, que nul
autre de vos negoces : tant vous e-
ſtſtiez remplis d’enuie de voir tous
les François paiſibles.
En ce que n’ayans peu obtenir
autre choſe des articles, qui vous fu
rent iurez en Poloigne par l’Eueſ-
que, quelque pourſuite que vos
ambaſſſſadeurs en fiſtſtent enuers le
Tyran, pour le moins le bruit de
leur venue auancea la fabrique &
publication de ce meſchant, trupe-
lu & traiſtſtre Edictct de paix : & par
conſequent leua le ſiege deuant la
Rochelle.
En ce que l’inſtſtante priere que
vos ambaſſſſadeurs firent, eſtſtans ar-
riuez à la Cour du Tyran, a eſtſté, cõ
me Dieu a voulu, cauſe & moyen
de la deliurance des poures gens
de Sancerre, que le Tyran eſtſtoit re
ſolu de faire mãger l’vn par l’autre.
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