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nouvelle, sur terre et sur mer, par le calme et la tempête, par les bons et les mauvais jours. J’ai hâte de redire cette épopée sans égale, de peindre ces routes infinies d’Asie et d’Europe, le long desquelles ils semèrent le grain de l’Évangile, ces flots qu’ils traversèrent tant de fois en des situations si diverses. La grande odyssée chrétienne va commencer. Déjà la barque apostolique a tendu ses voiles ; le vent souffle, et n’aspire qu’à porter sur ses ailes les paroles de Jésus.




FIN DES APOTRES