scientifiquement qu’en établissant encore un jeu complet de fiches. Sur chacune, on portera une phrase de l’éminent historien. On établira deux à trois mille fiches. On les mettra toutes dans un chapeau, un vaste chapeau, celui, par exemple, de M. Michaut, qui a une forte tête. On tirera ; on transcrira ; on obtiendra un premier texte. On recommencera ; on établira un second texte. On comparera les deux. Après quoi, on demandera une conclusion esthétique à M. Victor Basch.
Voici quelques aperçus de ce que sera mon édition nouvelle, digne celle-là, j’espère, de contenter les esprits pensifs, à qui ne peut pas convenir une étude simplement humaine, sans annotations, interprétations ni explications. Je me permettrai seulement de conserver à l’ouvrage le même titre, afin que les fiches qu’on a pu établir sur moi, ou à la Sorbonne, ou rue Cadet, ne soient pas inutilisables.
Et maintenant que j’ai satisfait les lecteurs sérieux, je me tourne vers les lecteurs