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m’marier avou lu après qu’aurait fait s’timps et r’pris l’botique et l’cabaret di s’mame à l’vîle voye. Et avou l’jouweu d’armonica, c’est po m’amuser on p’tit pau et fer assoti les autes bâcelles qu’assotihet après !

— Bon alors ; faudra-t-il que je lui écrive peut-être aussi une belle lettre ?