à Sa Majesté, elle aura l’explication d’un fait tout naturel et tout simple.
« Veuillez agréer, etc. »
L’Empereur savait mieux que personne ce qui s’était passé, puisque c’était lui qui avait invité sir Hamilton Seymour. Je le mis au courant de l’incident ; je lui écrivis :
- « Sire,
« Voici une lettre que je suis tout surpris de recevoir de M. Drouyn de Lhuys. J’ose prier Votre Majesté de la lire, ainsi que la réponse que je viens de lui faire, et de vouloir bien, si Elle le juge convenable, dissiper l’erreur dans laquelle il est tombé
- « Je suis,
- Sire,
Quelques jours après, l’Empereur me dit en riant : « J’ai arrangé vos affaires avec Drouyn de Lhuys. Je lui ai dit : Mais enfin, mon cher ministre, est-ce que je n’ai plus le droit d’inviter à dîner qui bon me semble, surtout un vieil ami de ma mère comme sir Hamilton Seymour ?
