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qu’il ne voulût ou ne pût ni s’appliquer ni lire, on l’emploiera à quelque travail, afin qu’il ne demeure pas dans l’oisiveté. Pour ce qui regarde les personnes infirmes ou délicates, on leur donnera des occupations et des travaux proportionnés à leur faiblesse, afin de les tirer de l’inutilité ; sans toutefois les accabler, et sans leur donner sujet d’abandonner leur entreprise. Ce sera l’Abbé qui jugera de leur disposition.





De l’observation du Carême.


Encore qu’un Moine doive, dans tous les temps de la vie, observer la pénitence du Carême ; néanmoins, parce qu’il y en a très-peu qui en soient capables,