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ET DE SUPERDUCTA BERTRADA ANDEGAVENSI. mii Noua ignare»» jc^qae JH> P»|W. Ma» U parafe «fue le Comte conwentit eofiiv U séparation puttqVRrjwsngarde épousa ensuit» ôttàtaiwé d» J»Kgm «a Aawargiw. O’«at ce q««tî<»te l’aiHeur des gwte» ; « La i Comte FouJqoe», dSt-il, épri* d’un amour » déréglé pour la iranir d’Ànuturi de Mont» fort, en qui. tout homme de bien ne pouvoit touer que la beauté, renvoya U mère » tjcÇeofroi Martel, apurant (ou plutôt convaincu )’ qu’elle étoit sa parente. » Après quoi Guillaume de Jaligni, on des » plus nobles baron» d’Auvergne, la prit pour sa femme. » L’auteur des gestes des seigneurs d’Amboise dit à-peu-près ta même chose « Foulques, convaincu qu’Er» Biengarde, mère de Martel, étoit sa pa» rente, la renvoya lorsque celui-ci- n’étoit encore qu’un enfant. Haimon surnom> mé Vaire-vacbe, frère de la Princesse, fils d’Archambaud-le-Fort sire de Bourbon, t’ayant ramenée en Auvergne, » la maria ensuite’ Guillaume de Jaligni, > fils d’Uldin-à-la-Barbe. » Nous ivignorons pas qu’outre les deux femmes dont parlent les auteurs anciens, les généalogistes modernes en donnent encore d’autres à Foulques avant qu’il épousât Bertrade. Dans l’Art de vérifier (es dates, on lui donne pour troisième femme Arengarde, fille .d’ist-mbert, seigneur de Chàtel-Aillon dans l’Aunis, mariée le 21 janvier 1087 un jeudi, laquelle, dit-on, ayant été répudiée, se Ht religieuse à Beauinont-lès-Tours, et l’ou cite pour garant un titre rapporté dans l’Histoire manuscrite de l’abl>aye de SaintFlorent de Saumur. Cependant comme Gilles Ménage cite le même titre- sous la date de l’année 1080 (c’est-à-dire 10SI puisque ce n’étoit que cette année-là que le 21 janvier étoit un jeudi) eu égard à cette circonstance du temps, nous sommes portés à croire qu’Arengarde n’est pas une personne différente d’Ermengarde de Bourbon, qui, ayant été obligée de quitter son mari, romme nous l’avons dit, s’étoit apparemment retirée chez les religieuses de Beaumont, avant que d’épouser le seigneur de Jaligni. Ménage de son côté ajoute au nombre des, femmes de Foulques-le• Rechin, déjà nommées, une fille de Gautier de Brienirç et d’Eustachie de Tonnerre, dont le nom n’est pas connu mais l’autorité sur laquelle il se fonde, est bien (bible. T. XII, p. 497. Art àr vrri-Çer les dmirt ." éd. tum. II, l>. 848. tirai, de S»blc, p. 85. Gtttt An* Ammm IVifip" i~et y ~· m ûk Ermttgitràs tejmmm ̃ a»-, m nlH§imn qpM «Uerttm « emjughtm poêle* mimnt ’cm* CmUUm/f laiiniar eetm i» Arvenm ttptrek» pnmt hobet, idem &ck* §mtmm Gmmtlm Amdt/ fMMUNfl», JR* vetbû « UbidinOêUâ T. XII, [ » FmiM tonrtm Amalrià M Mmtofbrti adanumt ogv» prmUr ftrmtm » tuM thtfàèm battu ImdamL, pro qua » matrtm JbrtaQi Omùit affirmons » tam de ffmm mu fmm qtum di- ̃» ma* Gmllebmu Jajfoùaômuu mr- > ex nebilioribus Anxrnentm, uxorem » (burù. » Ctà omdmt mriptor gettorum Ambatiaubm dtmmonm dicent a Fuko repartit oognatitme Ermenr gardm matrtm MartM m adhuc > puero, imtitit qttam dimitsam llaimo » cognomento Vaectwaria y dmnhuu » Borbotitty froter epu filius Arcimr baldi Fortia, secum in An<ernia du> eau Guilléimo Jalmiacaui domino, • filio Uldini Barbœ, in conjugio copu9 lavit. > Scimus quittent plurts à recentioribus genealogi* pnrlfr duat ea» quai ex antiqws scriptoribuM amtmemomvimus Richino tribui uxoret antequam ille te Bertradœ cwjvngtrtt. Auctor qui de *rt Arle erplorandi ternporum notaa (ior 1. Arle explorandi temporum notas m- 3^^ signent edidit trartatum} Futami past >- K48. Ennengardim. tertiam tribuit uxorem Arengardem dictam fiUam lsemberti domini Ca»ielh-AUionis in Alniensi UrritorU), quam, y inquit, in conjugium accepit Fuko anno 1087, die. 21 januariiy feridquintd quœ quidem ab eo tejuncUi peplum induit in BeUimontensi prope Turono» puellari monasterioi nititurque aucloritnte diplomatie in Historia nondum tupis édita monasterii i. Sancti-Florentii Salmuriensis recitati. Verùm, cùm /Egidius Menagius, ex »•• aucloritate ejutdem tabularii S. Flo- p" 83, 1 rentiï, idem instrwnentum dUimir^radat ̃ anno 1080, nobis, habita ratione te ?nports alia non videtur Arengardp* ab • Ermmgarde de Borbonio, quœ sejuncta, sa dictum e$t, à marito, ad Bellĩ monteuses intérim moniales se reteper rit, priusquam Guillebno Jalinuicensi traderetur in conjugium. Menagius autem aliam praster inemoratas inducit Richini conjugém filiam Gualleri de Brana et Euitachue Tcrnodoretui* at infirmo valdè utitur instrumenta.