Page:Rebière - Mathématiques et mathématiciens.djvu/10

Cette page a été validée par deux contributeurs.


PRÉFACE

Nous n’avons pas voulu grossir encore un volume déjà trop gros. Nous nous sommes bornés à améliorer l’édition précédente, par la méthode des substitutions. Les lecteurs trouveront ainsi des parties nouvelles aux pages 14, 22, 166, 228, 261, 289, 302, 362, 418, 422, etc, etc.

M. de Tilly a dit : « Les Mathématiques régissent le monde, mais elles le régissent sans l’amuser. » Stendhal l’avait déjà déclaré : « C’est la patrie du bâillement et du raisonnement triste. » Nous nous sommes permis quand même, sur un sujet austère, quelques sourires mesurés.

Nous venons de donner à notre livre un frère, ou plutôt une sœur, qui s’appelle Les femmes dans la science. Voulez-vous connaître les mathématiciennes et autres savantes ? Aimez-vous les portraits et les autographes ?

Paris, le 15 mars 1897.
Alphonse Rebière