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À MES ÉLÈVES.
C’est pour vous et avec tous que j’ai lu, commenté, traduit
tes satires d’Horace, de Perse et de Juvénal. Vos observations
m’ont souvent été utiles ; vos essais de version m’ont
plus d’une fois donné le sens ou le mot que je cherchais. Ce
travail vous appartient donc en partie, et je ne fais, en vous
le dédiant, que vous rendre, pour ainsi dires, à vous-mêmes.
- L.-V. Raoul.