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rieux avec leurs femmes, les maris ont toujours une raison légère qu’ils se gardent bien de leur donner.
Louise hochait la tête.
— Ah ! si je le croyais !
— Que ferais-tu ?
— Je fuirais avec toi… mon cher amour.
— Eh bien ! il m’est venu une pensée… je t’aime tant que je vais te la dire… une vilaine pensée, ma chère adorée.
— Laquelle ?
— Ton mari te trompe peut-être avec ma sœur.
Louise demeura pétrifiée. Une clarté subite l’inonda… Comment n’avait-elle pas découvert cela toute seule ?…
Cette nuit-là elle fut très heureuse avec… son amant.