Page:Rachilde - Le Grand saigneur, 1922.djvu/179

Cette page n’a pas encore été corrigée

aimes follement, ingénument un homme que tu ne connais pas ! Prends garde à toi ! Je n’y serai pas toujours. (Puis, il ajouta, ivre d’un chagrin mystérieux) : Va-t’en ! Laisse-moi dormir ici… Moi non plus, tu ne me connais pas.