^4 COMMENTAIRE,
L. 6 : WOidde en fes Metamorphofes.ies facremens de l’euangile. Plusieurs rêveurs ont interprété les Méta- morphoses d’Ovide d’une manière allégorique. Rabe- lais a probablement eu en vue un ouvrage, composé d’abord en latin, puis traduit en français, et dont voici le titre : Cy commence Ouide de Salmonen fon liurejnti- tule Methamorphofe. Contenut. XV. Hures particuliers moralijie par maiftre Thomas vvaleys… Tranjlate E Com- pile par Colard manfion. On lit à la fin du volume : « En la noble ville de Bruges en flandres par Colart manfion, citoien de jcelle ou mois de May an de grâce mil quatre cens iiij. xx. iiij » — Gr. in-fol. — Cet ouvrage, plusieurs fois réimprimé, est devenu popu- laire sous le nom de Bible des poètes.
L. 7 : Vn frère Lubin. La ballade. De frère Luhin^ par Marot (édit. Picard, Paris, i868, t. ii, p. 64), où se trouvent ces vers :
Pour faire plus toft mal que bien, Frère Lubin le fera bien ; Mais lî c’eft quelque bon affaire, Frère Lubin ne le peult faire.
avait rendu ce nom proverbial.
L. 8 : Gens aujjl fol^ que luy : C ? ’… couuercle digne du chaudron. Régnier a dit dans un sens un peu différent :
… lors qu’on a du bien, il neft fi décrépite
Qui ne troaue (en donnant) couuercle à fa marmite.
(Sat. XIII, p. iio)
L. 13 : Les dictant. C’est le texte de l’édit. Dolet. Celle de Juste porte : Didans.
L. 15 : Aultre temps, que celluy qui ejîoit eflably à prendre ma refeclion corporelle. « De ma part, fi. faut il que les meilleures heures (que i’ay difpofé à mon principal eftude) difpeiilees, ie remue mef- nage, ie tracaffe, ie brouille ces belles befognes que tu