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L. 31 : Et n’y a que neuf iours. Trois premières édi- tions : Et sil ny a que neuf iours, -voire de mangerejfes dymaiges & de théologiennes.

Page 294, 1. 30 : Mdis il n’ejl encorcs imprime’. Voyez ci-dessus, p. 61, note sur la 1. 17 de la p. 4.

Page 295^ 1. 13 : Faulte d’argent c’efi : doleur non pareille. Ce refrain, qui se trouve déjà dans la sottie de Pierre Gringore, représentée le mardi 25 février 15 12, était très populaire, ec a servi à diverses chansons et pièces de vers. (Voyez La sottie en France, par M. Emile Picot. Romania, avril 1878, p. 264)

L. 16 : Pipeur, beuueur. Ces deux mots et le vers qu’on trouve plus loin :

Au demourant le meilleur fil-^ du monde, ne sont pas dans les trois premières éditions. C’est un emprunt textuel tait à Marot, Epiftre au Roy, pour auoir efié dérobe :

l’auois vn iour vn vallet de Gafcongne

Pipeur,

Au demourant, le meilleur fil/ ; du monde.

Page 296, 1. 9 : Son Deus det. D’ordinaire les Grâces se terminent par : Deus det nolis suam pacem, « que Dieu nous donne sa paix. » Il est piquant d’in- diquer, comme la prière la mieux connue et la plus pra- tiquée de Panurge,’ celle par laquelle on remercie Dieu du repas qu’on vient de prendre.

L. 16 : Maiftres es an. Les premières édit. ajoutent ; « & théologiens. »

L. 2-^ : A yceulx… Premières édit. : A tous les théo- logiens de fe trouuer en Sorbone pour examiner les articles de la foy.

L. 28 : Oignit tout le paué. Premières édit. : Oignit theologalement tout le treilliz de Sorbonne.

Page 298, 1. 12 : Ite miſſa eſt. « Allez… » Paroles qui terminent la messe.