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mon con… a… toute… mon âme… je fonds… je fonds en foutre… je décharge !… que n’ai-je deux vits dans mon sacré con !… — Il est trop étroit, ma belle, lui dit Trait-d’Amour, sans quoi l’on s’arrangerait à vous donner ce plaisir-là… Mais on pourra quelque jour vous enculer pendant que votre fouteur vous enconnera. » Après une délicieuse décharge, je m’épuisai. Je déconnai sur-le-champ ; ma fille trémoussait encore ; Trait-d’Amour sauta sur son con, et en le réenconnant, il me dit : « Vous avez foutu ma petite sœur, je l’ai foutue aussi après vous ; vous m’avez dépucelé Connette, ma future : dites-moi si leurs cons valaient celui que votre bonté me fait enfiler. C’est un satin, mais à en juger par le soyeux du poil, j’augure que l’intérieur du con de ma jolie chapelière de la rue Bordet en approchera… Ma reine, vous fais-je mal ?… — Et plaisir… va… va… va donc ! je fous… — Ah ! ah ! ah ! quel satin, quels délices, j’enconne ! je fous ! je décharge ! remue, divine, sacrée, céleste enconnée !… oh ! l’aimable petite pincette qu’elle a au fond du conin… pince… serre, sacrée petite convulsionnaire… fais-moi convulsiver dans ton joli con… tu veux foutre, déesse ?… quatre décharges de suite vont t’inonder le conin… conichon… conichonne… Voilà ma deuxième ! — Fous, saccade, murmurait ma fille… ne me quitte pas, cher vit d’amour ! — Ne la quitte pas qu’après avoir déchargé, dis-je à mon ancien secrétaire, qu’elle sente les dernières oscillations de ton gros vit !… Quelle est jolie en fouteuse, disais-je à Trait-d’Amour… Je bande !… Elle a l’air d’une déesse, laisse-la achever !… farfouille… lime… lime-la… elle