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tueuse ? ou voulez-vous des mules, avec d’autres bas ? — Des mules. » Je la déchaussai d’une main, lui chatouillant toujours le con. « Oh ! quelle jambe blanche, quelle propreté ! » Elle se chaussa debout. Je lui mis le pied dans une mule rose délicieuse, à talons roses. Je lui quittai la motte, qu’elle lava ; ensuite elle fit par la chambre quelques tours pour m’exciter davantage ; me voyant hors de moi : « Je veux te griller », me dit-elle. Tandis que je me déculottais, elle s’assit, croisa ses genoux et fit badiner sa mule, le pied en l’air.

Je n’en pouvais plus ; me voyant prêt à me lancer sur elle, Conquette vint sur moi troussée, me fit tenir ses jupes, appuya ses deux coudes sur mes épaules et s’enfila doucement elle-même sans toucher mon vit de sa main délicate. Elle descendit ainsi graduellement jusqu’à ce que je bouchasse son joli pince-vit. « Ne remue pas, me dit-elle, je veux me foutre moi-même. » Quand elle sentit le plaisir, la divine fouteuse, trop émue, s’abandonna de tout le poids de son corps en me disant : « Cher vit… pousse. » Elle mit sa bouche brûlante sur la mienne, donna le mouvement intérieur à son con, me darda sa langue et se pâma en me lançant toute son âme… Je déchargeai avec un si délicieux frémissement qu’elle foutait encore au bout de cinq minutes d’émission… « Ah ! fouterie adorée, l’éclair du bonheur dure si je prolonge avec toi… » Je sentis en cet instant l’émotion de mes premières décharges où je perdais connaissance, et je crus que j’allais expirer de volupté dans son con. Je le dis en déchargeant. Mon enconnée n’en frétilla que