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toutes les femmes, je puisse me dire : Je viens de patiner, de baiser ces foutatifs appas… Je te suivrai, j’entendrai les hommes dire : Que je la foutrais bien !… Je verrai les femmes penser : Sacrée coquette, cette parure, ce goût, ce tour de cul signifient : Je veux être foutue, vite, foutez-moi !… Bougresses, je ne bande que pour le beau conin que vous jalousez… Ma fille sourit à ces propos, se laisse patiner, puis baiser tétons, fesses et conin.

Montencon m’admira et demanda pardon à Conquette, qui n’avait entendu ce que je venais de dire qu’avec une modeste rougeur.

Un jour que je l’avais conduite avec précaution chez une amie et que j’étais retourné la chercher le soir, la suivant à quatre pas, son sublime tour de fesse me fit bander si fort qu’en rentrant je lui happai le con. Elle se défendit parce qu’elle entendait aller et venir madame Brideconin. « En ce moment, déesse, je suis si enragé de lubricité pour ta marche voluptueuse, que je te foutrais devant toute la terre. » Et je grinçais des dents, lui tenant toujours le poil du con, ce poil soyeux qui lui formait une longue et superbe perruque à la Louis XIV. « Eh bien ! me dit-elle, allons, ne me chiffonnez donc pas. — En déshabillé, reine ! » Je lui tenais toujours le con et je la suivais à chaque pas qu’elle faisait. Elle me donne un joli baiser à langue dardée pour me remercier de ce que je lui permettais de se mettre en déshabillé. « Ne me quittez pas le poil, ça me prépare. » Une pareille complaisance me la faisait adorer. En un instant, elle fut en corset. « Ma chaussure est-elle assez volup-