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Piocheneuil les excitant et se faisant branler à l’aide de la main et des tétons de la jeune fille : « Bougre !… encule ton petit garçon ! »

XXXI. Piochette. — Le vieux Piocheneuil patinant les tétons de Piochette, âgée de quatorze ans et fille du frère et de la sœur, pendant que ces deux individus sont enconnés et que le vieux Piocheur, grand-père, encule son fils : « Tu me dépucelleras ta fille dès que ton grand-père l’aura déculée. »

XXXII. Les gourmets de con. — Conquette enconnée par Cordaboyau, seulement comme gourmet du satiné de son con ; il est enlevé de sur elle, prêt à décharger, par Trait-d’Amour et Brisemotte, le vit bandant et déculotté, pour le plonger tout brandi dans le con de Rose-Mauve, étendue sur un foutoir : « Hausse du cul ! Le sacré bougre allait partir ! »

XXXIII. Honnête entretien du père et de la fille. — Cupidonnet prenant le con de sa fille d’une main, les tétons de l’autre ; elle dit : « Je remercie le sort de m’avoir fait naître d’un si bon père. »

XXXIV. L’homme enfilant deux cons d’une volte. — L’homme à queue foutant Sophie Linars de son vit, tendis que Géoline s’enconne avec la queue velue qu’il a au croupion ; celle-ci dit : « Et moi je vais me servir de cette queue raide. »

XXXV. La fouteuse insatiable. — La belle Agnès livrée par son père, enfilée par le jeune procureur, qui se loue de ses délicieux mouvements ; elle s’écrie en déchargeant : « Ah ! mon âme va sortir par le trou qu’il me fait. »

XXXVI. Indicibles fouteries. — Agnès après sou-