Page:Rétif de La Bretonne - L’Anti-Justine ou les délices de l’amour, 1864.djvu/196

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 92 —

même instant dans la bouche et dans le con. Elle voulut téter trois fois Vitnègre, que les trois garces qui le chatouillaient secouaient tellement qu’il rebandait aussitôt. D’ailleurs, il s’écriait à tout moment : « Ma femme n’est point morte, c’est elle que j’embouche, je le sens au velouté de son palais ! » et cette idée le faisait décharger à flots. Mademoiselle Linguet fut obligée de cesser ce jeu, dans lequel on voulait faire expirer Vitnègre… Mais elle avait sucé le double vit avec tant de fureur qu’elle avait la bouche tout en feu. On obligea Vitnègre d’enculer ses trois foutues, ce qui lui fit quinze copieuses décharges, parce que les belles de relais lui manipulaient impitoyablement les couilles. Les exercices douloureux de l’enculage n’en effrayaient aucune ; au contraire, les tourments de la patiente excitaient leurs passions, et elles la pinçaient pour la forcer à s’agiter et à faciliter ainsi l’intromission du gros vit dans son cul. Vitnègre n’en pouvait plus ; ce fut précisément ce qui excita mademoiselle Linguet. Elle exigea de nous qu’il déchargeât une sixième fois, et que ce fût dans son cul à elle ; Trait-d’Amour se vit obligé de céder. On manipula Vitnègre, on lui chatouilla les couilles, on lui assura qu’il allait enculer mademoiselle Linguet, sa femme ; à ce mot il érectionna. On lui fit sucer les tétons de Rose-Mauve comme de Connette. Il banda raide ! Aussitôt on coucha l’enculande sur le ventre, on lui beurra la rosette, puis le rectum avec une grosse canule. Tendrelys prit délicatement le gros vit avec ses doigts de rose pour le diriger dans l’anus, tandis que Minonne et Connette écartaient chacune une fesse.