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mon premier galant, qui nous ont fourbies, Guac en bouche et les autres en con. Cependant, nous avons toutes voulues avoir Guac à la première douleur pour l’accouchement : son vit, gros comme l’enfant, frayait le passage et son foutre Ponctuait.

» Après nos couches, nous avons prié mon père de nous choisir de jolis petits garçons non pubères, mais bandant raide, pour nous ramoner le con. Ces enfants, dont les petits vits huilés entraient calottés, ne déchargeaient pas, et cependant farfouillaient dans le con. »

» Les douze belles furent très excitées par ce récit, et quelques-unes allèrent sur-le-champ se faire ramoner par Fysistère, qui fut très étonné de cette boutade. Il se servit de ses deux queues, en expédiant ainsi deux à la fois, une dessous, une dessus. Cette bourrasque apaisée, Fysistère revint à ses trois us et coutumes. Mais bientôt ses trois coucheuses parurent enceintes. Il les pria, ainsi que madame Linars, de lui en procurer trois ou quatre autres pour lui faire des enfants, en attendant leur liberté. Madame Guac seule en procura trois, l’une Tétonnette, son amie d’enfance, fille, et deux sœurs, Bienouverte, grande, blonde, et Dardenbouche, jolie brunette, très caressante, déchargeant comme quatre. Tétonnette était une de ces brunes à peau blanche, qui ont toujours une si belle gorge. Fysistère assura douze cents livres de rente à ces trois filles, se chargea de leur ample entretien durant tout le temps de leur fécondité, les fit coucher au grand lit et les dépucela huit fois chacune la première nuit. Il commença par Darden-