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par sa petite monture. Il lui mettait encore couilles et vit sur le cul et les tétons, puis il se faisait donner au gland un suçon ; il bandait alors et enculait. Au dernier culetage, il eut un priapisme et crut ne faire que bander ; il fourgonna dans le cul de ma sœur jusqu’à ce qu’il s’évanouit.

» J’appelai Guac, qui la décula en enlevant son enculeur ; on le porta évanoui dans sa voiture ; arrivé chez lui, des cordiaux que demanda Guac ranimèrent le vieux libertin. « Ah ! s’écriait-il, je vis encore, je voulais mourir dans son cul ! je bande encore, qu’on me la rende, que je l’enfile et… que… j’expire… » Et il expira.

» Ah ! la belle mort ! » dit Trait-d’Amour, et toute la compagnie en dit autant.

» Madame Guac acheva : « Voici comment s’est passée la première nuit de mon mariage. Guac, à son retour, était furieux de luxure ; il voulait toutes nous enculer, puis nous emboucher ; on s’arrangea. Il m’emboucha, encula ma sœur et ma cousine, enconna ma marchande, qui en fut estropiée pour un mois, et l’engrossa, deux choses qui l’empêchèrent d’être achetée par Fysistère.

» Pour Guac, je suis sa maîtresse, et son gros vit me fortifie par son foutre qui me nourrit. Je serai enconnée par lui, de convention faite avec Fysistère, après mon deuxième enfant.