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de vous l’introduire ». Guac, qui me suivait doucement, vint faire l’intromission, et tout alla bien.

» Chacune des trois filles fut foutue deux fois en con ; ensuite, comme de concert, les trois bougres retournèrent la médaille. Deux des trois avaient leur pucelage du cul ; ma marchande crut qu’on allait le lui mettre en levrette, mais les deux autres ne s’attendaient à rien. On leur perça le cul à toutes trois au même instant, et elles s’écrièrent, malgré la défense, toutes à la fois, Doucette : « Oh ! le fondement !… » La religieuse : « Oh ! l’anus !… » La marchande : « Oh ! le trou du cul !… » On n’y fit pas attention. Heureusement ma sœur avait le cul large, elle souffrit le moins ; quant à la religieuse, que Witplongeardow enculait sans bourrelet, elle avait une aune de vit dans les entrailles, et elle sentait celui de son enculeur lui chatouiller le nombril. Elle souffrit beaucoup de son farfouillage, car il retirait et enfonçait brutalement ; elle n’eut de plaisir qu’à la décharge, par la douce chaleur du foutre qui lui onctua le gros boyau.

» Ma marchande était la plus maltraitée par Towtenwit ; elle avait le trou du cul aussi étroit qu’elle avait le con large ; le vit énorme la pourfendait, elle jurait dans ses dents. Enfin, la décharge l’abreuva, et elle fut soulagée.

» Les trois vieillards en avaient autant qu’il leur en fallait. Guac vint les retirer, de sorte qu’ils ne se montrassent pas. On étuva les trois cons et les trois culs, on fit les lits, on changea les draps, on recoucha les triples mariées, et Guac introduisit les trois nouveaux acteurs.