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tre jambe et l’autre pied, en bas, en souliers de soie d’une éblouissante blancheur. On se mit à table ; mon fouteur voulait que je restasse les tétons découverts ; nous soupâmes, j’avais appétit. Ce basané but et mangea comme un hercule. En sortant de table, il dit à mon père et à mon futur : « Vous ne m’avez pas trompé ; elle est au-dessus de tous vos éloges. Si l’intérieur du con ressemble à l’extérieur, elle est à moi coûte que coûte. — Voyons votre vit, dit Guac… Elle ne sera que trop parfaite ; voici le mien et vous savez que je n’ai pu l’enconner, puisque c’est ce qui vous a fait parler à monsieur Convelouté, mon beau-père. — Je verrai si elle a le mérite de ce beau nom ; mais vous avez un vit épouvantable, monsieur Guac ! Empoignez-le, la belle, que je voie comme il est bien bandant. » Je saisis le vit de Guac, qui se récria de plaisir. « Je bande, reprit Fysistère, mais faites bander votre père, et comparons. » Je lui pris cependant le membre, qui grossit en le serrant dans ma main. On compara ensuite. Guac l’avait le triple de l’homme velu, qui lui-même était le double de mon père. « Je voudrais lui dire un mot », demanda-t-il furieux de luxure. Il me poussa derrière une fenêtre, me cacha derrière le rideau et me déchargea dans la bouche. Mon père seul devina ce que Guac venait de me faire. Pour moi, je fus singulièrement fortifiée par cette bavaroise ; je brûlais aussi.

» Je fus ravie lorsque Fysistère dit : « Il faut d’abord que je la foute habillée. » Il me porta sur le lit, ôta ses culottes et nous laissa voir un corps velu comme celui d’un singe ; il me fit lui prendre son