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croyables, je m’écriai : « Cher amant… divin amant… j’expire de bonheur et de volupté… je t’adore !… » Le jeune homme déconna ; il me suça les tétons, les lèvres, me fit darder la langue, ce que je fis tendrement ; aussitôt il me réenconna avec fureur ; j’eus autant de plaisir que la première fois ; bref, il me recommençait sans cesse, et ce fut Guac qui le renvoya, car pour moi, déjà foutue vingt-cinq fois dans la journée, je crois que j’aurais laissé aller ces deux hommes jusqu’à cinquante, si tous deux avaient pu me le mettre. Guac, me voyant quelque difficulté à marcher, m’envoya chercher un fiacre pendant que je me lavais le con. « Eh bien ! ma charmante reine, t’ai-je bien foutue ? » me dit-il. Je rougis. « Loin d’être épuisé, je me meurs d’envie de t’enculer. — Ah ! non, non ! m’écriai-je avec effroi. — Eh bien ! branle-moi des deux mains, comme te voilà, le cul dans l’eau. » Je branlai son vit, qu’à peine je pouvais empoigner ; quand le foutre fut prêt à venir, il hurlait de plaisir… « Ta bouche, me disait-il, ta bouche ou je t’encule !… » Je décalottai le gland, je le pressai de mes lèvres, le foutre arriva… De peur qu’il ne tombe sur mes tétons, j’ouvre la bouche, et il m’est lancé au fond du gosier. Je l’avale comme un lait de poule… il y en eut une chopine… « Foutre ! foutre ! s’écriait Guac, je me pâme ; ah ! céleste garce… tu vaux mieux que toute la terre. Est-ce bon ?… Ce qui fait tant de plaisir en bas doit faire du bien en haut… Ah ! divine putain, je t’en nourrirai ! » Le fiacre arrivait, Guac m’y porta, on me l’avait mis trente-sept fois.

» Le frère de ma marchande se trouva seul à la