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qu’il ait toute facilité. En attendant, je vais t’en fourrer encore un peu. » Il me renversa, et à l’aide du beurre frais, il m’enfila avec quelque facilité, ce qu’il répéta trois fois, excité par ce qu’il venait de voir et parce que j’étais extrêmement bien chaussée en souliers de soie neufs. Je déchargeai trois fois à chaque enconnage ; cela fit neuf fois. Mon père me dit que j’avais beaucoup de tempérament et que j’allais être une bonne fouteuse ; je me lavai soigneusement, et il me ramena.

» Nous trouvâmes Guac chez ma tante ; j’étais plutôt mise en appétit que rassasiée par le triple fourgonnage de mon père. Je dis à mon prétendu : « Allez chez vous, j’ai à vous parler. » Il y courut. Mon père parlait à ma tante pour accélérer ce mariage, car il craignait, à la manière dont j’avais déchargé, que je ne devinsse grosse de lui, et il le désirait en même temps, mais il fallait que je fusse mariée. Ma tante sortit avec lui.

» J’allais partir aussi pour laisser essayer à Guac un enconnage complet, lorsque mon oncle rentra. J’étais si en volupté que je n’en fus pas fâchée, quoiqu’il me déplût. Il ferma la porte au verrou et vint à moi « Tu vas donc te marier ! me dit-il ; allons, il faut en découdre à nous deux. Aussi bien Guac a le membre si gros qu’il te ferait souffrir le martyre (ceci acheva de me déterminer). » Il me saisit : « Laissez-moi, laissez-moi », dis-je faiblement. Mon oncle ne m’écouta pas, et voyant que je ne criais ni n’égratignais, il me renversa sur le lit, me troussa et dirigea son vit dans le vagin de mon con. J’eus l’air de paraî-