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comme je prétends jouir ; je l’aurai dévirginée ; tu seras alors présent à mes fouteries, à peu près comme le père dont je vais parler. J’aime à écrire ces histoires-là ; elles me font bander.

» Le père de la jeune fille était un riche marchand qui l’avait délicatement élevée, mais il était devenu si pauvre qu’il ne pouvait la nourrir, ni un fils de douze ans ; la fille ayant plu à mon confrère, il la voulut acheter ; le père la lui vendit douze mille livres ; mais comme Piocheneuil (c’est le nom du confrère) est un libertin fort blasé, il lui faut un ragoût pour le ranimer ; le ragoût est de faire trousser et laver la fille par son père avant d’en jouir ; le père prend ensuite le vit du fouteur et le dirige dans le con sans poil de la jolie Piochée. Son père l’avait pommadée la première fois. Pendant l’acte, il l’excite à remuer du cul, à serrer le fouteur dans ses bras, etc., et quand elle est déconnée, le père lave le vit de son gendre, le cul et le con de sa fille et les essuie. Dans la conversation, Piocheneuil apprit bientôt que Piochée avait un frère beau comme Adonis, c’est-à-dire parfaitement ressemblant à sa mère, qui avait été très jolie femme. Dès que mon confrère le sut, il l’acheta comme sa sœur, et pommadé par le père, il l’encula. Peu de jours après, voulant foutre la sœur avec plus de vigueur, il la fit laver par le père, gamahucher par le jeune frère, et il l’enconna quand elle fut prête à décharger. Par suite, il n’encula plus le joli enfant. « Bougre ! dit-il au père, je ne bande plus assez pour enconner ta fille sans être excité ; encule-moi là ton petit garçon, cela me fera raidir. » Le père fut forcé par son intérêt