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de la belle jusqu’à la garde ; son con bien en face, il crie à son maître : « À ce con beau qui vous supplie, enconnez raide. Piquez des deux, la garce est enculée et je vais vous donner le mouvement. Pardon, déesse, je ne me connais plus… Connette, boulonne, boulonne les couilles de ton maître… » Cependant, j’enconnai ma délicieuse fille en sentant le vit de Trait-d’Amour qui m’étrécissais le passage encore et qui donnait au conin des oscillations que jamais con n’a eues. Je délirai en m’écriant : « Chien de Vitnègre, cocu tout à fait du con et du cul !… » Cette idée m’enflamma et sa brutalité m’empêcha de décharger trop tôt. Je parvins au charmant pinçoir au fond du conin ; il me suça le vit, et Trait-d’Amour me communiquait tous ses mouvements et en faisait faire d’insolites à mon adorable fouteuse, déjà préparée par la langue de Connette… Elle s’écria : « Ah !… lime… oh !… je… dé…charge… foutre !… — En voilà du foutre plein votre con, reine des vits et des dieux ! » s’écria Trait-d’Amour ; et je sentais les oscillations de son gros vit qui éjaculait. Enfin, je déchargeai moi-même. Ma fille, inondée de foutre, trémoussait rapidement. « Con satiné de mon vit, m’écriai-je, que tu es délicieux !… » Madame Vitnègre émettait encore quand Trait-d’Amour décula. Ce mouvement le fit redécharger… Conquette, dans le con de laquelle je laissais osciller mon vit après décharge, gigottait, trémoussait, tremblait sous moi ; Connette m’avait quitté les couilles ; Trait-d’Amour, toujours bandant, était revenu vers nous. « Fous-la-moi tout chaud, lui dis-je, elle décharge encore… Et toi, dis-je à Con-