Page:Rétif de La Bretonne - L’Anti-Justine ou les délices de l’amour, 1864.djvu/111

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 7 —

les deux autres étaient déconnées et lavées qu’elle émettait encore ; enfin, elle cessa. Trait-d’Amour la lava, et me voyant rebander : « Vous la foutrez sans doute autant que la dernière fois ? » me demanda-t-il. « Très certainement, répondis-je ; je ne suis vigoureux qu’avec cette jeune beauté, je la foutrais jusqu’à extinction de vit et dessication de couilles, et tu vas voir ce que je vaux ; qu’on m’anime seulement par la vue d’un enconnage redoublé. »




CHAPITRE XXVIII.

De l’enculo-connillerie.

Ma réponse fit sourire Trait-d’Amour, qui sans doute n’y ajouta aucune foi. « Eh bien ! reprit-il, je vais vous donner un plaisir que vous n’avez jamais eu, ni ces bougres-là non plus. Je tiens cette pratique de l’abbé Chonauche, ancien genovéfin, qui m’a souvent enculé avant que j’eusse de la barbe au menton et du poil au vit. Un jour, voyant que je m’ennuyais de son culetage, il me dit d’aller lui chercher la petite Culfraisé, la cadette, jolie comme un amour et non encore vendue à un lord. Il envoyait douze francs à la mère ; la fille devait en recevoir autant. L’abbé la fit appuyer un coude sur la commode, il se mit derrière elle et l’encula ; j’étais devant et je l’enconnais ; nous limions, nos deux vits se sentaient ou la garce tortillait du cul de façon que nous croyions le sentir. Chonauche la laissait pousser tantôt du con sur moi, et alors son vit déculant à moitié, il avait l’agrément de la