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mais il y a encore — il faut qu’on le sache bien — des ressources inépuisées peut-être, mais non inépuisables de forces moralisatrices, de générosité, de pureté et de devoir dans notre pays. Oui, il y a encore des femmes et des hommes décidés à tenir courageusement tête à cette horde de malfaiteurs publics, littérateurs de maisons closes, journalistes pornographes, mercenaires de la prostitution et agents provocateurs à la débauche publique. Si ceux-ci sont prêts à toutes les lâchetés, à toutes les audaces ; s’ils sont capables de tous les crimes, les autres sont prêts aussi pour l’action énergique et résolue, et s’il fallait, pour résister aux pornographes et à leurs ignobles productions, aller jusqu’à la lutte douloureuse et violente, il y a encore des français que le ridicule ne tue pas et qui ne rougissent pas de pratiquer la vertu, d’exiger qu’on la respecte, et d’aller jusqu’au bout de leurs droits et de leurs devoirs pour la protection de la personne sacrée de l’enfant.