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Alors Jean Bernin se pencha à son oreille et lui murmura quelques mots.

Nicou écouta gravement.

Puis il ajouta :

— Qui donc emmèneras-tu ?

— Tous les patriotes.

— Les vrais…

— Oui, dit Jean, ceux qui font tout ce que je veux.

Nicou eut un rire bruyant.

— Je vais, dit-il, chercher ma besace et mon bâton.