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Les pistolets étaient une assez bonne précaution.

Du moins, Jean Bernin le pensait ainsi. Il ne connaissait pas ce commissaire de la République, mais il savait par expérience que Paris avait envoyé plus d’une fois des cerveaux brûlés qui jouaient du pistolet et du poignard au moindre mot. Jean Bernin était coiffé d’un bonnet de coton blanc, chaussé de sabots, et il avait une lanterne à la main.

À peine eut-il ouvert la porte de la mai-