Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome IV.djvu/248

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

la nouvelle blessure de son maître, de laquelle le sang coulait en abondance.

Quand la plaie fut bandée, Brulé à qui, désormais, tout le monde obéissait dans le château, les uns par peur, les autres en haine de Solérol, Brulé, disons-nous, fit transporter le blessé dans sa chambre.

Puis il s’assit à son chevet.

— Ah ! lui dit-il, tu as voulu me tuer, Jean Solérol !

— Infâme ! traître ! assassin ! répondit Solérol dont les lèvres écumaient.