Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome IV.djvu/231

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

regardèrent Jean Bernin et le brigadier, et répétèrent le signe du bûcheron.

Ce signe voulait dire :

— Il est un peu fou.

Enfin, on arriva au château.

Le plus grand calme y régnait.

Un domestique pansait un cheval sur le pas de la porte ; Brulé, assis sur un banc, fumait sa pipe.

Le père Brulé était tranquille comme un bourgmestre flamand.

— Ah ! te voilà ! s’écria Curtius, qui se