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réglant sa marche sur celle de la garde civique. Lorsqu’il se fut jeté de côté dans les broussailles, il se mit à courir dans la direction des Soulayes, arpentant les bruyères avec ses longues jambes. Quant au citoyen Curtius et à sa petite troupe, ils continuèrent leur chemin avec la majestueuse lenteur qui convient à des héros qui ne sont point pressés de vaincre.

Il était plus de midi lorsqu’on aperçut enfin les poivrières du château au bout d’une allée forestière.