Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome IV.djvu/149

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

donné un successeur, nous serons maîtres de tout le pays.

— Espères-tu donc t’emparer de Solérol ?

— Le billet que j’ai fait écrire à Curtius, ce grotesque ensanglanté par les éclaboussures de l’échafaud, est un piège suffisant. Ah ! dit encore Machefer, c’est un coup du ciel que tu aies pu échapper au Bouquin.

— Et acheter ses services, n’est-ce pas ?