Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome IV.djvu/134

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

darmes du brigadier faisaient piaffer leurs chevaux.

— Allons, monsieur le commissaire ! cria Jean Bernin, qui avait un uniforme des gardes françaises et un casque de pompier, on vous attend.

— Vive le commissaire ! cria la garde civique.

Et la petite armée se mit en route pour le château des Soulayes, où sans doute le citoyen chef de brigade Solérol était prisonnier.