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Il nageait en pleine rivière d’Yonne et avait le moulin derrière lui.

Il se mit sur le côté et tourna la tête.

Le moulin était silencieux et aucune lumière n’y brillait.

— Ou il n’y a personne ou tout le monde dort, pensa Curliüs.

Et il coupa le courant, alla s’accrocher aux herbes de la rive opposée et se hissa sur la berge.

Là, seulement, il se reprit à grelotter.

Mais il était libre, la nuit était silencieuse,