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DE L’ÉTANG, MLLE DUPRÉ.}}

MLLE DE L’ÉTANG.


Est-il possible que tu n’ayes pu voir encore le pauvre Duvivier pour lui faire des excuses de ma brusquerie ? Je t’avoue qu’il m’a fait pitié et que je suis inconsolable du chagrin que je lui ai donné.

MLLE DUPRÉ.


Tu es bien fille ! Ce matin tu ne le pouvois souffrir, et te voilà toute inquiète de ne pas le voir. Que veux-tu que je te dise ?