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TABLE DES MATIÈRES.
comme elle fait, et c’est pour un bien, IV, 9 ; — (la) nous impose les accidents de la vie ; elle nous a produits et elle nous détruira, IV, 29 ; — (la commune), que le Stoïcisme confond trop souvent avec Dieu, IV, 19, N. ; — (la) universelle n’aime rien tant que le changement de toutes choses, IV, 36 ; — (la) qui t’est propre, et celle qui est commune à tous, n’ont qu’une seule voie, V, 3 ; — (la) ne produit jamais rien, dans ce que nous voyons, qui ne concorde avec l’être qui vit selon sa loi, V, 8 ; — (la commune), en d’autres termes, la Providence, V, 8, N. ; — (la), tout ce qu’elle exige, c’est ce qu’exige la philosophie, V, 9 ; — (la vraie), de ce que le vulgaire regarde comme des biens ; à quoi on la peut reconnaître, V, 12 ; — (la) de l’homme est celle d’un être doué de raison et né pour la société, VI, 44 ; — (la) qui régit l’univers ; définition de cette expression, VII, V, N. ; — (la) de l’univers ; comment elle se sert de l’universelle matière, VII, 23 ; — (la) qui gouverne toutes choses, change aussi toutes choses, VII, 25 ; — (la) de l’univers s’est portée d’elle-même à faire le monde, VII, 75 ; — (la) de l’univers n’a rien en dehors d’elle ; ce qu’il faut admirer dans son art, VIII, 50 ; — (la) de l’univers ; sa tâche éternelle, VIII, 6 ; — (la) de l’homme, comparée à la feuille des bois, VIII, 7 : — (la) qui dirige vers un but et une fin notre commencement, et notre course dans cette vie, comparée avec le joueur qui dirige sa balle, VIII, 20 ; — (la) se propose toujours un but, c’est le grand principe qu’Aristote a énoncé et justifié de toutes les manières, VIII, 29, N. ; — (contempler la) universelle, c’est le propre de la philosophie, VIII, 26, N. ; — faculté qui lui est commune avec l’être raisonnable, VIII, 35 ; — universelle des êtres raisonnables ; définition de cette expression, VIII, 35, N. : — (la) de l’univers est la nature de tous les êtres ; on l’appelle encore la vérité ; comment l’homme combat contre elle, IX, 1 : — (la) qui gouverne l’univers ; définition de cette pensée, IX, 1, N. ; — de l’univers ; ce qu’elle aime, IX, 35 ; — (règles pour bien comprendre la) végétative, la nature animale et la nature d’être raisonnable dans l’homme, X, 2 ; — (la) animale dans l’homme, et dans son corps, X, 2, N. ; — (nécessité d’étudier la), X, 9 ; — de l’univers ; ce qu’elle apporte à l’homme, lui est utile, X, 20 ; — (la) n’est jamais inférieure à l’art, XI, 10 ; — (la) la plus parfaite, la commune nature ; définition de ces expressions, XI, 10, N. ; — (la), ou les atomes gouvernent l’univers, XI, 18 ; — des choses, manière de l’examiner, XII, 10 ; — (la) prescrit le temps convenable de notre naissance, et la limite pour la cessation de notre vie, XII, 23.
Natures, ce qui leur est commun à toutes, X, 6.
Navigation heureuse d’un homme parfait, IX, 2.
Néant (rien ne peut se perdre dans le), pensée juste dans sa généralité, mais qui n’est pas assez précisément rendue par Marc-Aurèle, V, 13, N. ; — (tout est) et fumée dans les choses humaines, X, 31.
Nécessité, sens dans lequel il