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- — Si tu es mon ami,
- Va-t’en chercher un cierge.
- L’ami n’avait pas fait trois pas,
- Que sa mère le rappelle.
- — Mon bel ami, vot’ belle est morte.
- — Ah ! si j’avais bien su
- Que ma mie serait morte,
- J’aurais resté près de son lit,
- Pour voir ma bonne amie mouri.
(Ercé.)
Cf. Bujeaud, t. I, p. 282, La mort de la brune, la préface de Champfleury, « Ce matin je me suis levé plus matin que la lune, » p. X, et Mélusine, col. 390, chanson recueillie à Lorient par E. Rolland.