856 Table des SOMMERSET ( Duc de). Voyez Angouléme. SOUFFERTE. Du droit appelé soufferte et de son objet. Discours prélimin. p. xxxviij. Souloir , avoir coutume, p. 559. SouLT (Hugues). Lettres de noblesse en sa faveur, p. 12. SOUPLAINVILLE (Guillaume de). Don en sa faveur, p. 609, note b. Souplainville. Voyez Montargis. ’ Souveraineté du Roi. Voy. Cathédrales. Stains. Voyez Saint-Benoit. STELAGE 011 SESTERAGE, rétribution sur les grains. Discours préliminaire, p. xl. Subsistances. Voyez Amiens, Paris. SUBURBE , faubourg, p. 201. Successions. De quelques droits que les seigneurs avoient sur les successions. Discours prélimin. p. xxxviij. Voy. Bâtards, Desconfés, Déshérence, Intestat, Mortaille. Suisses. Sur leur alliance et capitulation avec la France, voyez page 265, note a. Voy. aussi Monnoies. MATIÈRES.
Suisses : Le Roi accorde aux Suisses qui servent actuellement ou qui serviront dé sormais dans ses armées, le droit d’acquérir et de disposer des biens qu’ils posséderont en France, par testament, donation entre vifs, et les exempte, pour eux et leurs enfans, de tout droit de taille et autres contributions, p. 699. Sur la confirmation subséquente de ce privilège, voye^p. 700, note a. Sully. Voyez Trémoille (La). SuPPLÉviLLE (Guillaume de ). Le Roi lui donne Château-Landon, p. 308, note a. SURSÉANCE ordonnée à Arras pour toutes les causes dans lesquelles des marchands étoient intéressés^ Voyez Arras. SuRY-AUX-Bois. Etablissement d’une foire en ce lieu, p. 599, note a. SylvaTICUM. Voyeç la p. xij du Discours préliminaire, note d, et la note b de la p. xxviij. SYNDEREZE, remords, p. 222, note a. Taillandiers. Voyez Tailleurs. TAILLE. Ce qu’elle devenoit quelquefois. Discours préliminaire, p. vij. Taille par feu, ibid. Tailles abonnées, ibid. Pays où une taille étoit due toutes les fois que le seigneur la demandoit, ibid. p. xiv. f TAILLEBOURG. Etablissement d’une foire à Taillebourg, p. 499 > nole a-T AILLEURS. Les gardes, maîtres et maîtresses de taillanderie en la ville et banlieue de Rouen demandent à Louis XI la confirmation des statuts que Charles VI leur avoit accordés, avec les additions et interprétations d’aucuns articles advisés par les maîtres et gardes de ce métier et consentis par le bailli de Rouen, les gens du Roi appelés. Louis XI les approuve et ratifie. Les principales additions faites sont : Aucun ne pourra devenir maître s’il n’aappris le métier chez un des maîtres ou maîtresses, s’il n’a servi le temps régie par les statuts, et payé (a hanse ou droit de réception ; si ce n’est qu’il eût appris dans une ville où il y auroit des corporations connues d’arts et métiers. II est défendu de tenir ouvroir ou travailler en chambre si l’on n’a fait preuves de suffi sance devant les gardes et maîtres, et aussi payé la hanse toutefois il n’est pas entendu que les g£ns de la ville ne puissent sans fraude fyirp-besogner dans leurs maisons par qui il i£ur plaira, p. 44 et suiv. .Tailleurs. Ils sont appelés taillandiers dans les lettres de Charles VI, p. 44* T Tailleurs. Statuts pour les tailleurs et pourpoimiers d’Amboise , p. 627. Tannay, en Nivernais. Le droit de garenne 11’y étoit pas exercé. Discours préliminaire, p. xxvj. Lettres du seigneur de Tannay pour l’affranchissement de ses habitans , ibid. p. xlix. TaSQUE. Voir la p. xxxij du Discours préliminaire. Taureau BANIER. Voye^ la page xxiij du Discours préliminaire. Tax AMENTUM, le même que Tensamentum. Voyez ce mot. Temporaliter. Dans quel sens est pris ce mot, p. 507, note c. TENSAMENTUM, Tf.NSATIO , droit sur les maisons et les héritages. Discours préliminaire, p. xxxj. Comment on le percevoit, , ibidem. TERRAGE. Voye^ la page xxxij du Discours préliminaire. TERCEAU , droit prélevé sur le tirage du vin. Discours préliminaire, p. xxxix. Tharente,Tarente (Prince de). Voyez Arragon ( Frédéric d’). ThÉBAUD ( Jean). Lettres de noblesse en
!sa faveur, p. 52, note a.
Thouars. Louis d’Amboise, Vicomte de Thouars, avoit cédé au Roi la terre et seigneurie de Thouars, située en Poitou , se réservant toutefois la jouissance pendant sa vie. Apres lui, la vicomté tomboit dans les mains du Roi, qui I avoir donnée à sa fille Anne de France , lors de son mariage projeté
