Page:Ovide - Les Amours, traduction Séguier, 1879.djvu/98

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
92
OVIDE

Et la lionne porte en paix.
À de tendres beautés cet art, d’ailleurs critique !
Souvent la mère suit l’enfant ;
Mourante, échevelée, on l’emmène au portique’:
« Bien fait ! » dit-on, en la voyant.
Mais qu’aux plaines de l’air se perdent mes paroles ;
Que mes présages restent vains !
Oubliez un premier crime, Dieux bénévoles :
Au second seul, fermez vos mains.