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LES QUATRAINS
D’OMAR KHÁYYÁM
I

Si je n’ai jamais mis en colliers les perles de
Si je n’ai jamaisla Prière,
Je ne t’ai jamais caché cette poussière de
Je ne t’péchés qui souille mon visage ;
C’est pourquoi je ne désespère pas de ta
C’est pourquoi jeMiséricorde,
Car je n’ai jamais dit que le Un était Deux.