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CHAPITRE II
EN CRIMÉE
§ 1. — Ce qu’il faut faire quand on est attaqué sur deux frontières : les Russes ne le font pas. — Bataille de l’Alma (20 septembre). — On aurait dû investir Sébastopol avant de l’assiéger dans un large rayon. Menschicow suppose qu’on le fera : ses dispositions. — Sébastopol était à la merci d’un coup de main. — On décide qu’on ne l’attaquera pas par le Nord. — Agonie et mort de Saint-Arnaud (29 septembre 1854) 
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§ 2. — Canrobert, le nouveau commandant en chef. — Il décide qu’on renoncera à une attaque brusquée par le Sud. On commence un siège régulier. — Joie des défenseurs de Sébastopol. Bombardement du 17 octobre 
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§ 3. — Bataille de Balaclava (25 octobre). Charge Cardigan 
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§ 4. — Bataille d’Inkermann (5 novembre). — Les clampins. — Départ du duc de Cambridge et du prince Napoléon. — Héroïque patience de nos soldats 
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CHAPITRE III
A PARIS, A LONDRES, A VIENNE
§ 1. — Prédictions lugubres des ennemis de l’Empire. — Noble langage de Barbès : sa grâce. — Réunion du Corps législatif (26 décembre). — Reconstitution de l’armée d’Orient 
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§ 2. — Chute du ministère Aberdeen (30 janvier) 
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§ 3. — La résistance du roi de Prusse et des États moyens empêche l’Autriche d’adhérer à l’alliance occidentale 
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